• Le chevalet.

    Dans le même palissandre que la touche.

    Modèle du type cordes traversantes.

    L'assemblage en 3 pièces me permet d'obtenir

    une fente de sillet avec des angles parfaitement droits.

    .-¤¤¤¤-.

    Bon, des photos !

    yes

     

    41 ou 42 mm ente la corde G et A ?

    Là est la question...

    Tout dépend de la largeur du sillet de tête, de la 12é frette...

     

    La piéce avant de maintien de sillet ne fait que 5 mm de large.

    Ce qui fait une surface de collage limite,

    pour contenir le stress induit par le sillet sous la tension des cordes.

    Deux inserts en jonc carbone Ø 2mm assurent la liaison.

     

    Et voilà !

    Un chevalet tout sobre et un sillet en ébène.

     

     

     

     


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  • Comparatif de deux manches de ukulélés GG.

    sarcastic

    Le plus foncé, en acajou,

    est celui de mon Pineapple soprano #3.

    L'autre, plus clair, en cèdre du Brésil,

    est celui de mon concert slim Hibiscus sound hole,

    de 406 mm de diapason.

    On peut voir que les manches actuels sont plus fins,

    en épaisseurs, largeurs, galbes.

    .-¤¤¤-.

    Cela se joue en petits millimètres.

    Et les millimètres, sur un ukulélé, c'est important...

     

    yes

     

     

     


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  • Là, ça commence à ressembler à un manche de ukulélé.

    Un manche de ukulélé GG.

    C'est à dire fin, très fin, avec peu d'épaisseur générale,

    et une tête de faible épaisseur également.

    Les sections de manche sont en croissant de lune.

    ...........

    Loin d'être fini, avec encore

    des petites facettes, des galbes à peaufiner.

    Tout cela sera finalisé quand la touche sera collée,

    une fois la jonction manche/caisse effectuée.

     

     


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  • Au fil des journées,

    des moments choisis,

    la fabrication du manche.

    Toujours.

    --*.*--

    De moins en moins de matière...

    sarcastic

    La touche est maintenue provisoirement

    par des petits morceaux de double face fin.

    Pour approcher au mieux les galbes du manche.

    Enlever de la matière, chercher la finesse,

    mais toujours en respectant des valeur précises d'épaisseurs.

    Donc, des gabarits permettent de bien contrôler "tout ça"...

    Le placage de tête, en noyer des même planchettes que la caisse,

    sous presses.

    Les volutes de raccordement du manche et de la tête

    sont approchées au couteau...de luthier.

     


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  • Retour au mezzo soprano.

    L'assemblage de l'ébauche du manche.

    En acajou.

    --*--

    Et en 4 parties.

    Un banc de maintien permet que "rien ne glisse" sous presses.

    yes

    Là, le collage de la tête.

     

    Les 2 parties du bloc de talon.

    Le bloc de talon au collage sur l'ébauche du manche.

    L'excédent de la planchette de tête est arasé,

    le plan de collage de la touche est mis à niveau.

    Le profil est tracé.

     

    Pour éviter tout flambage ou vrillage

    au fil des mois, des années,

    un trussrod (raidisseur tube carbone Ø 6mm ultra strong)

    sera posé.

    D'abord, le "sillon".

    Colle époxy lente + poudre de micro ballon.

    Et voilà, le plan de touche est poncé bien...plan !

    Bon, il va y avoir de la matière à enlever,

    avant d'approcher les formes à la râpe...

    Et bien sûr,

    ne pas se presser.

    Jamais.

    On a tout notre temps, non ?

    cool

     


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