La préparation du collage de la table.

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Comme le dos du uke sera radiusé et en babouche,

la surface d'appui du bas des éclisses n'est pas plane.

Loin de là.

Ma façon de procéder pour coller la table m'oblige

donc à répartir une série de petites cales de différentes hauteurs (j'en ai fait plein)

pour obtenir une surface de collage de la table plane.

Ouf !

Des photos, toujours bien avec des mots...

Une plaque bien plane (là, du "compact"),

posé avec un poids, me permet de vérifier et de corriger par petites touches

le nombre, la hauteur et les positions des cales.

Presque que bon, sur cette photo.

Et quand c'est nickel, bien plan ?

Et bien, on colle !

Un seul barrage de table

sur ce pineapple.

Bien affiné à ses extrémités

et travaillé pour laisser de la finesse vibratoire.

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Les petits taquets serviront de guides de maintien

à la table sur les éclisses pendant le collage.

Ou l'inverse.

Les logements d'extrémités des barres d'harmonie

dans les contre éclisses.

Pour assurer le collage et éviter 

justement un décollement, avec le temps et les vibrations

de la table.

Cela peut arriver, au fil des années, et c'est souvent

la cause de parasite sonore (buzz).

C'est tout pour la page d'aujourd'hui.

Pas si mal, non ?

Le patch de renfort de table sous le chevalet,

et les barrages.

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Fibres en travers pour plus de rigidité.

En érable idem la table.

Hop, on colle!

Les 2 adhésifs (bleu) pour ne pas que 

"ça" ne glisse sous les pinces.

Les barrages de table.

Ici, les 2 barres d'harmonie.

En red cedar.

Les 2 bandes d'adhésif de chaque côté du barrage

pour protéger la sous face de la table des éventuels

frottement d'abrasif.

Pourquoi la protéger puisque que ça ne se verra pas

une fois la caisse assemblée?

Et bien, justement, parce que ça ne se verra pas...

Tout en "arrondis"...

pour un son tout "rond"...

Il y a les petits plaisirs de la journée.

Certains se perdent avec les temps qui changent.

Le 3é millénaire.

Tenez, les cartes postales, dans les vraies boîtes aux lettres.

Apportées par le facteur.

Avec les emails, l'internet, j'en reçois de moins en moins.

J'aime bien, les cartes postales.

Et puis, mon facteur est sympa.

Hier,

j'ai reçu un message sympa,

via le web, mais avec un parfum de carte postale.

J'aime à penser que le ukulélé est et doit rester un "véhicule" 

de plaisirs simples.

Simple à jouer, à apprendre si l'on s'en tient à vouloir ne jouer que du ukulélé.

Pas de vouloir jouer de la guitare classique ou folk sur ce petit instrument à 4 cordes.

Ce qui n'empêche en rien un son délié, brillant, rond (mellow).

Le plaisir, de le jouer, à son niveau, peut aussi se partager.

Hier, 2 petits morceaux de ukulélé GG, 

déposés dans ma boîte aux l...., non, ma boîte emails...

Un ukulélé GG encore vert,

une découverte de l'un et de l'autre.

Le joueur et l'instrument.

Lequel, de uke GG, et qui joue ?

Pas si important.

Hier, c'était une chouette journée...

Et voilà, les contre éclisses sont collées.

Arasées plan du côté table,

alors que sur l'autre face,

comme le dos sera radiusé ("bombé"),

avec un axe longitudinale "en babouche",

les contre éclisses présentent un angle ouvert.

Elles viennent "mourir" sur les blocs

de manche et arrière, eux aussi présentant un angle ouvert.

Ouf !

C'est clair ?

Bon, les photos...