Un peu plus loin

dans ... le moins en moins de matière ...

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Pas encore de courbe, de galbe, ni d'arrondi.

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Enfin, juste la courbe du talon ...

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Bientôt,

je sors les râpes ... bientôt !

De moins en moins de matière.

Mais par encore de formes.

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Malgré tout,

l'ébauche s'affine.

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Par étapes.

En prenant garde de ne jamais "manger"

les cotes de largeurs et d'épaisseurs.

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L'ébauche du manche.

- La suite -

Avant d'approcher les formes,

il faut enlever de la matière.

Le traçage.

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Le raidisseur de manche.

Un tube carbone ultra strong,

collé avec un mélange de colle epoxy et de poudre de mico ballon

( micro sphères de verre ).

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On ne trouve pas de stringer dans beaucoup de manche de ukulélé.

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Avec le temps, un manche fin se flambe, 

et peut être sujet à de la torsion.

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Les manches des ukulélés GG sont plus fins que la moyenne, peu épais,

avec des sections en croissant de lune

et souvent en bois peu dense.

De plus, la touche de moins de 3 mm. d'épaisseur est,

elle aussi, beaucoup moins épaisse que celles de la majorité des ukulélés industrialisés.

Tout cela n'apporte pas une rigidité structurelle.

A mon sens, un raidisseur de manche s'impose.

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Le bonus d'un raidisseur en tube carbone :

Un gain notable de sustain.

Alors, pourquoi s'en priver ?

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La pose.

Bien sûr, tout à la main.

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La prise de poids est peu quantifiable,

en rapport au gain de rigidité,

et à la valeur ajoutée de sutain.

Et l'assurance, la sérénité de savoir que des années de tension de cordage

n'altéront pas la jouabilité de l'instrument.

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Un ukulélé GG, soprano tout koa.

Le # 13.

Une vidéo de Frax.

Merci à lui.

 Et une petite photo ...

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